20 Francs Tunisie Or - 6,45g

- Histoire du 20 Francs Tunisie Or  

Le 10 Francs en Or Coq et Marianne est la pièce Française qui rassemble le plus de symboles de la république française : Coq, Marianne, devise « liberté, égalité, fraternité », autant de symboles de la République française y sont représentés. Le 10 Francs Napoléon Coq de Chaplain, dit demi-Napoléon ou encore 10 Francs Marianne Coq, tire son nom de l'animal représenté sur son revers, l'effigie de Marianne gravée sur son avers, et du patronyme de son graveur Jules-Clément Chaplain (1839 – 1909). La pièce a été frappée la première fois sous la IIIème République, et s'apparente à un Napoléon 20 Francs dont les proportions auraient été réduites de moitié. En effet, le poids d'or fin et la valeur faciale sont égaux à la moitié de ceux du Napoléon 20 Francs. Le demi-Napoléon a été frappé entre 1850 et 1914 et toutes frappes confondues, à près de 24 millions d'exemplaires. La piièce a été démonétisé le 17 février 2005. 

• Avers : Profil de Marianne regardant vers la droite, coiffée d'un bonnet phrygien et d'une couronne végétale en laurier.

• Revers : Coq regardant vers la gauche orné de la valeur "10 FR", la date étant placée en dessous du coq.

Le 20 Francs Tunisiens Or  fait 21 mm de diamètre et pèse 6,45 grammes. Pure à 900/1000, cette pièce est un produit d’investissement par excellence. Toutes nos pièces en Or sont de qualité TB (très bonne qualité).

Dix ans après l'instauration du protectorat français en Tunisie, la piastre tunisienne, également appelée rial tunisien, est remplacée par le Franc tunisien. La pièce de 20 Francs Tunisie est frappée entre 1891 et 1928 et a les mêmes caractéristiques de poids, de taille et le même titre que la pièce de 20 Francs Or émise pendant la IIIe République en France. Le Franc tunisien disparaitra en 1958 au profit du dinar tunisien après l'abolition du protectorat.

Des pièces tunisiennes fabriquées à Paris.

Les pièces de 20 Francs Tunisie ont été frappées dans l'atelier de fabrication monétaire de Paris comme l'indique le « A » gravé sur l'une de ses deux faces. Les autorités monétaires avaient en effet exigé des ateliers monétaires qu'ils apposent leur marque sur les pièces produites afin qu'elles puissent mieux contrôler la production et la mise en circulation de la monnaie.

Ces pièces ont été gravées par Jean Lagrange, 21e graveur général des monnaies à la Monnaie de Paris, jusqu'en 1896 puis par son successeur à ce poste, Henri-Auguste Patey de 1896 à 1930.

Une pièce « multilingue » !